Dupuis (Bernard) • Un carrousel sur la mer du sang et des coquelicots
17,00€
A la fois roman d’amour et roman policier.
Écriture poétique pour cette longue lettre d’amour ( parfois de haine), adressée par le narrateur à une personne qu’il nomme Madame, à la façon de confidences, mais aussi comme monologue.
Le but de ce roman est de montrer la puissance de l’imagination, but pleinement atteint, puisque le lecteur s’y laisse entraîner sans résistance.
Un homme aveugle plante le décor dès les premières lignes : Solitude, tristesse, et annonce abrupte de l’assassinat d’une dame âgée, dans son village de Belgique, Aumont. Le narrateur redoute l’assassin, mais il en deviendra l’ami très proche. Il nous apprend que la perte de sa vue est survenue lors d’un accident, alors qu’il avait treize ans, dû à la négligence de son père, qui, lui, a perdu la vie à ce moment-là. Il laisse deviner, en plusieurs endroits, que les relations avec sa mère ont fait de lui à la fois un enfant aimé et mal-aimé.
Il nous laisse entendre que la femme à qui il s’adresse n’est pas réelle. Mais ensuite, immédiatement, elle revient dans une intense présence.
Jeux de miroirs, de kaléidoscopes. Kaléido est justement le nom donné à son bateau, à bord duquel il a navigué, avec Madame, vers de merveilleux horizons, évoqués avec moult détails, en dépit de sa non-voyance.
Description
A la fois roman d’amour et roman policier.
Écriture poétique pour cette longue lettre d’amour ( parfois de haine), adressée par le narrateur à une personne qu’il nomme Madame, à la façon de confidences, mais aussi comme monologue.
Le but de ce roman est de montrer la puissance de l’imagination, but pleinement atteint, puisque le lecteur s’y laisse entraîner sans résistance.
Un homme aveugle plante le décor dès les premières lignes : Solitude, tristesse, et annonce abrupte de l’assassinat d’une dame âgée, dans son village de Belgique, Aumont. Le narrateur redoute l’assassin, mais il en deviendra l’ami très proche. Il nous apprend que la perte de sa vue est survenue lors d’un accident, alors qu’il avait treize ans, dû à la négligence de son père, qui, lui, a perdu la vie à ce moment-là. Il laisse deviner, en plusieurs endroits, que les relations avec sa mère ont fait de lui à la fois un enfant aimé et mal-aimé.
Il nous laisse entendre que la femme à qui il s’adresse n’est pas réelle. Mais ensuite, immédiatement, elle revient dans une intense présence.
Jeux de miroirs, de kaléidoscopes. Kaléido est justement le nom donné à son bateau, à bord duquel il a navigué, avec Madame, vers de merveilleux horizons, évoqués avec moult détails, en dépit de sa non-voyance.
Informations complémentaires
Poids | 0.307 kg |
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Dimensions | 1 × 15 × 21 cm |
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