Maindiaux (Bertrand) • Le goût âpre de la poussière afghane
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Le 4 juin 2012, alors qu’il participe à une conférence internationale à Kaboul, l’humanitaire François Weber est enlevé brutalement avec trois de ses collègues. Même si cet enlèvement s’avère être une erreur, l’otage vivra les pires moments de sa vie.
Extrait :
Description
Le 4 juin 2012, alors qu’il participe à une conférence internationale à Kaboul, l’humanitaire François Weber est enlevé brutalement avec trois de ses collègues. Même si cet enlèvement s’avère être une erreur, l’otage vivra les pires moments de sa vie.
De Bruxelles à Kaboul, de Strasbourg à Mitharlam, telle une tresse, ce récit entrecroise ces mêmes événements vécus par François, l’humanitaire, Soa, son épouse malgache et Nizar, un des geôliers.
Informations complémentaires
Poids | 0.325 kg |
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Dimensions | 1 × 15 × 21 cm |
Anonyme –
Bertrand,
Comme dit précédemment, j’ai profité de quelques jours de vacances pour lire “Le goût âpre de la poussière afghane”. Je l’ai dévoré avec beaucoup de bonheur. Je trouve que le récit est plein de sensibilité et bien construit. J’avais lu précédemment “Le Pays du Mal” dans lequel Pierre PICCININ DA PRATTA et Domenico QUIRiCO racontent leur captivité en SYRIE et rien dans ton récit ne m’a paru relever de l’invraisemblable. Même si je ne suis pas resté assez longtemps à KAIA pour en reconnaître les lieux, j’ai eu l’impression de me retrouver dans les lieux !
EditionsLC –
4 ème livre de cet auteur au grand coeur et engagé dans de multiples causes qui nous fait prendre conscience ( avec douceur ) de la réalité que vivent des personnes éloignées ( et pas toujours si lointaines ), qui ne demandent qu’un sourire, un petit geste; qui seront rendu en toute humilité et gratuitement au centuple et de notre chance d’avoir ce confort que nous ne nous rendons souvent pas compte en gardant; nos oeillères parfois ou souvent intentionnellement qu’est la facilité de vivre où nous sommes.
Des récits passionnants à lire facilement et sans modération 😉 ! J-L B.